« Brian is peut-être in the kitchen » mais vous, vous êtes un peu dans les choux niveau maîtrise de l’anglais ? Découvrez des méthodes express pour progresser « finger in the nose » en quelques mois seulement.
Regarder des séries en anglais
Vous rêviez d’une excuse en or pour enchaîner les épisodes de vos séries préférées : tenez, c’est cadeau. À condition de les regarder en anglais, of course. En plus d’un format court et donc facile à caser dans votre emploi du temps, les séries présentent l’avantage de planter un univers que vous aurez plaisir à retrouver, de multiplier les références culturelles (les paysages, l’alimentation…) et de proposer plein d’expressions idiomatiques plus faciles à déchiffrer dans leur contexte.
Pensez aux accents, et choisissez la série en fonction de votre destination : « Shetland » pour Edimbourg, « The Crown » pour Londres, « Mystery Road », la mini-série australienne d’Arte lancée au début de l’été pour Sydney ou Canberra, la géniale « Madmen » pour les Etats-Unis, avec un langage à la fois assez soutenu et compréhensible.
La technique des petits pas :
- Commencez par regarder en VOSTFR (Version Originale Sous-Titrée Français)
- Lorsque vous vous sentez à peu près à l’aise, passez au VOSTEN, avec un sous-titrage en anglais
- Puis place à la VO : pas de panique si vous ne captez pas tout, la compréhension globale est un excellent moyen de progresser.
Lire en anglais
Et pas seulement les consignes de sécurité dans le métro : « Beware of trapping your hands in the doors » c’est utile, mais ça a ses limites. Préférez un roman contemporain (inutile d’apprendre du vocabulaire tombé en désuétude), ou regardez du côté de l’actualité : rendez-vous par exemple sur le site de la BBC ou de The Economist. Le tout est d’être régulier, et assidu : comme dit le fameux dicton, un créneau de 20 minutes par jour vaut mieux que deux tu l’auras.
Bon à savoir :
Sur www.loyalbooks.com, vous trouverez des milliers de livres électroniques en anglais à télécharger gratuitement.
Ecouter la radio en anglais
Les films offrent l’image en soutien de compréhension, la lecture permet de moduler la vitesse de déchiffrage : place à un niveau de difficulté supplémentaire avec la radio (liste des radios en anglais ici). Mention très bien pour les formats interviews qui structurent la discussion en questions/réponses et facilitent la compréhension. Et pour les programmes quotidiens courts comme les infos ou la météo : grâce à la répétition, vous reconnaîtrez plus facilement le vocabulaire et les constructions de phrases utilisées.
Zoom sur les podcasts
Il en existe certains spécialement dédiés à l’apprentissage de la langue, comme « Business English Pod », parfait pour s’initier au vocabulaire du monde de l’entreprise.
Mais vous trouverez aussi votre bonheur selon vos centres d’intérêt : Footballramble pour le sport, Good food pour la cuisine, Dear sugars pour le développement personnel…
Fréquenter des anglophones
C’est sans hésiter la meilleure façon de progresser rapidement, aussi bien en compréhension qu’en expression. C’est aussi le meilleur moyen de vous décoincer, car votre niveau est sans doute meilleur que vous ne le pensez. Avoir l’impression d’être ridicule lorsqu’on parle une langue étrangère est une spécificité bien française, et c’est pourtant loin d’être le cas (sauf si vous le faites avec un béret et une baguette de pain dans la bouche). Pour vous en convaincre, demandez-vous ce que vous penseriez d’un étranger qui tente de parler français, avec ses erreurs et son accent pas très au point. C’est « cute », un point c’est tout.
Des pistes pour trouver des anglophones quand on n’en a pas sous la main :
- Proposer des services de baby-sitting auprès d’enfants anglophones
- Aller boire un verre dans un pub
- Rencontrer des expats et participer à leurs évènements grâce aux groupes Facebook :American Expats in Paris, British Expats in Paris Group…
- Faire fonctionner votre réseau pour entrer en contact via Skype avec un(e) anglophone, et lui proposer 20 minutes de conversation en français, puis 20 minutes en anglais.
Durant les préparatifs de votre voyage, allez-vous autant assurer niveau langue que niveau budget ? On vous donne ici toutes les pistes pour le boucler avant de partir !
Il est vrai qu’en France, passer son permis de conduire coûte cher, voire très cher. Selon une étude datant de 2016 et réalisée auprès de 1374 auto-écoles (soit 12% des établissements français à cette période), il faut compter en moyenne 1804 euros pour obtenir le précieux sésame. Dans le détail, le prix moyen du forfait de base (20h de conduite, inscription au code et frais de dossier) s’établit à 1155 euros. L’étude révèle alors que lorsqu’on ajoute les 15h moyenne de conduite supplémentaire prises les futurs conducteurs – à 43 euros moyens par heure, le total s’élève à 1804 euros. Cela en fait un des permis les plus chers d’Europe.Manquements à la réglementation, surfacturations, barrière à l’entrée pour la concurrence, contraintes juridiques sont autant de responsables du prix très important du permis de conduire. L’étude révèle également que 20,5% des établissements n’affichent pas de forfait en vitrine. Par ailleurs, selon une autre étude datant de 2017,69% des auto-écoles se targuent de taux de réussite qui ne sont absolument pas les leurs, les différences de résultat avec la réalité étant parfois très importantes .Ils se permettent alors des tarifs plus importants. Enfin, les auto-écoles sont très nombreuses à prétendre que les «frais d’accompagnement», perçus pour convoyer le candidat sur le lieu d’examen du code, sont obligatoires et les facturent plus cher. Pour éviter ces pièges contactez nous : rapidpermis1@gmail.com